
Bref… des détails certes, mais qui montre aussi à quel point il se faut être exigeant si on veut vraiment convaincre sur le segment de la compacte. Mégane, 308, Golf, C4, Astra, Focus ont de la répartie pour cela aussi.
Alors si Pulsar doit convaincre, c’est de par sa mécanique. La future nouvelle venue a une donneuse qui ne demande que ça et en plaçant d’emblée le moteur diesel 1.6 DIG-T de 140 kW (190 ch), un couple de 240 Nm et boîte manuelle à 6 rapports, affichant une consommation de 6 l aux 100 km, lui permettant d’émettre 138 g/km de CO2, voilà Pulsar sur orbite.
Et visiblement chez Nissan, on a décidé de frapper fort puisque dans le même laps de temps, c’est la déclinaison Nismo, élaboré par la branche compétition, qui posait fièrement dans une teinte « gris souris » contrasté de rouge à ses côtés sur le podium.
Un look d’enfer au plus près du sol et certainement un ramage car à voir les 4 disques de freins ventilés et perforés… Cela laisse à supposer qu’il faut savoir arrêter le missile. Bien calé dans les baquets, à l’avant tout au moins, avec le volant sport bien en main, qui aurait pu se passer du méplat, dont une s’évade brièvement afin de passer l’un des 6 rapports à la volée, les pieds jouant la partition pour une mélodie endiablée via le pédalier sport, le pilote fait corps avec celle qui devrait ensorcelé plus d’un.
Sauf que Nissan ne dit rien de la puissance… Affaire à suivre ! (source Nissan / photos P Hayot – auto-center.be)
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